Un nouvel air pour les taxis

Deux ans après la COP21, j’ai souhaité vous présenter un reportage sur les taxis « Hype » de la STEP (Société du Taxi Électrique Parisien) qui roulent à l’hydrogène liquide. Des taxis écologiques au nombre de cinq lors du lancement fin 2015 sur Paris qui sont aujourd’hui bien plus nombreux. Cette initiative, prise lors de la COP21 et renforcée chaque année, prouve bien que l’on cherche des solutions alternatives pour contrer les méfaits de l’industrialisation de masse.

Cela fera 800 tonnes de CO2 en moins dans l’atmosphère cette année. Une très bonne nouvelle donc, pour les défenseurs de l’environnement.

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Paris Photo 2017

R_03_01Paris Photo est la première foire mondiale autour du médium de la photographie. C’est un évènement où professionnels, passionnés et icônes de la photo se côtoient​ autour d’expositions, de prix, de séances de signature et de discussions animées par les artistes. Sous la voûte du Grand Palais plus de 180 galeries se sont installées pour 5 jours de découverte !

Cette année Paris Photo a donné carte blanche aux étudiants en photo de Gobelins pour suivre ses coulisses : de l’installation des murs, jusqu’à l’ouverture de la foire en passant par l’accrochage des œuvres. Plusieurs élèves de première année ont eu la chance de participer à cette merveilleuse aventure. Avec Charlotte Fouillet nous avons décidé de travailler en binôme et de créer des diptyques. Les premiers d’entre eux mettent en avant la relation entre l’humain et l’outil lors de l’installation de la foire. La seconde partie de ce reportage met en perspective les deux faces d’une exposition : les œuvres et le public. Car même si on n’y pense pas toujours, sans public les œuvres n’auraient aucune utilité …

Voici donc quelques uns de nos diptyques

Vous pouvez découvrir les autres travaux des élèves de Gobelins sur le blog de la section photo.

Un lieu oublié mais pas abandonné

En France et partout dans le monde, il existe des lieux oubliés. Ils ne sont toutefois pas abandonnés pour autant, car dans ses lieux subsiste leur âme. Par ces photos j’ai voulu montrer la beauté d’une usine de teinturerie désaffectée dans le nord de la France. L’inactivité de cet endroit lui confère une aura énigmatique, comme si elle avait encore des secrets à garder …

 

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Une tradition familiale

J’ai réalisé au cours de l’année dernière un reportage sur la Saint Cochon. Cette fête rurale est organisée tous les ans et donne lieu à un l’abatage d’un cochon selon la tradition familiale. J’ai choisi ce reportage pour mon book professionnel car il représente un savoir-faire particulier qui se transmettait de génération en génération mais qui tend à se perdre. Ces photos sont pour moi un moyen d’immortaliser ces instants de partage et de graver dans les mémoires ces techniques caractéristiques. L’idée de cette série de photos m’est venue en allant voir l’exposition de Robert DOISNEAU sur les Halles de Paris. J’ai toujours aimé ce photographe car chacune de ses photos raconte une histoire avec un charme particulier

Vers une crue centennale ?

Aujourd’hui à Chatou les quais ont été fermés à la circulation pour cause d’inondation ! Cela m’a inspiré pour un reportage d’actualité. Je me suis donc déplacée jusqu’au nouveau barrage pour faire des photos. Pour avoir un point de comparaison, j’ai trouvé sur internet une photo du barrage prise bien avant la crue.

Sans titreSource : Seine en scène. (http://www.seine-en-scene.fr/paris-rouen)

  • Voici les clichés que j’ai fait à 16h30 le 2 juin : (Cliquez pour les voir en plus grand)
  • Et voici ceux pris le 3 juin a 19h. Vous constaterez par vous même la différence.
  • Voici une comparaison avant-après à seulement 15h d’intervalle !2
  • Enfin des clichés de la Maison Fournaise et des quais du côté de Rueil-Malmaison,  pris le matin du 4 juin.

La vidange du canal St Martin

Début janvier 2016 , le canal St Martin s’est vidé pour des travaux d’une durée de 4 mois. C’est un événement plutôt rare puisque qu’il n’arrive qu’une fois tous les quinze ans. Pour cette raison j’ai décidé d’immortaliser ce moment autant que possible.

Les travaux se sont déroulés entre la première écluse du canal, située place de la Bataille de Stalingrad, et la huitième écluse au niveau de la rue du Faubourg du Temple. La vidange du canal avait pour but de le nettoyer de toute sa vase et de tous ses objets, plus insolites les uns que les autres. Elle a également servi à entretenir, réparer, moderniser toutes les infrastructures, à commencer par les écluses, et ainsi prévenir les risques d’accidents et d’inondation. Cet immense chantier aura tout de même couté 9,5 millions d’euros à la ville de Paris.

Vous trouvez ci dessous mon reportage sur le sujet.(Cliquez pour les voir en plus grand)